Extrait du journal

M. Herriot s’est défendu devant le Congrès de Nice d’avoir, au temps de son ministère, cédé aux exigences des j socialistes. Dès l’instant que M. Herriot . affirme, on doit l’en croire. Tels arguments de M Franklin-bouillon n’en «ardent pas moins une certaine force. La pression des socialistes n’est au surplus pas douteuse. Elle s’est exercée au moins deux fois dans des circonstances singulièrement importantes : la première, à propos d’un discours de -\ï Herriot que les socialistes jugèrent trop nationaliste ; la seconde, au sujet du prélèvement sur le capital. Il était fatal qu'il en fut ainsi, et l’on ne comprendrait pas que les socialistes capitulassent à l’occasion. Mais alors il faut que ce soient les radicaux....