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Le Progrès de la Somme, 27 janvier 1878

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Le Progrès de la Somme
27 janvier 1878


Extrait du journal

Pour restituer à la Marseillaise s:t signeaction véritable et primitive, le ministre l'instruction publique ne ferait peules re. int mal de rendre le chant ue la Marseille obligatoire dans nos écoles. Nos enfants apprendraient ainsi que la marseillaise n’est pas un cri de sédition ni guerre civile, mais l’hymne éploré et meçmt de in France en danger. Us apprendraient que cet hymne doit se offrir et se déployer avec une virile énerve devant l’étranger se ruant sur nous. Us apprendraient que le devoir des homes valides et mûrs est de se faims tuer lur le salut et pour l’honneur national. Us apprendraient que, lorsque les plus eux sont tombés sur la brèche où les raient appelés et retenus leurs nobles obligions de Français, c’est aux plus jeunes à vendre leur place, sans être « jaloux de ur survivre ! » Ce serait, a cette heure présente, un délie précieux enseignement que ce comment’re vulgarisé de la Marseillaise, que la foule ignorante et aveugle est trop portée à tour»p eD force révolutionnaire....
Le Progrès de la Somme (1869-1944)

À propos

Le Progrès de la Somme est un quotidien départemental publié dans la ville d’Amiens et fondé par René Goblet, Frédéric Petit et Jules Lardière en mai 1869. Face à son concurrent Le Journal d’Amiens, catholique et conservateur, il se place comme un organe républicain de gauche, plus grand titre de Somme pendant toute la IIIe République.

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