Extrait du journal

D’autre part, nous sommes bien obligés d’avouer que la France est, moins que jamais, prête à jouer le pôle qui lui revient dans les événements dont est troublée la presqu’île des Balkans. Toute préoccupée des complications de la plus haute gravité qui agitent sa politique intérieure, elle ne peut, à tous les points de vue, que souhaiter le maintien du statua quo, jusqu’au jour où, plus libre de ses mouvements, elle pourra mieux faire valoir, dans la solution de la question d’Orieut, et ses propres intérêts et les droits do la justice et ceux des nationalités qui échappent peu à peu au joug musulman....