Extrait du journal

de la circulation. Par habitude, si un mot drôle parvient à fendre la foule indifférente et incompréhension, on l’attribue d’instinct et d’emble à Tristan Bernard, riche de toutes les drôleries qu’il n’a pas eu l'idée de commettre. Il est, le bon apôtre, l’ultime raison sociale de ce qu’on appelait la verve parisienne, tout comme le jovial André de Fouqulères, grand ordonnateur des pompes mondaines, Pétrone et Pétronille, arbitre, au nom de tous les snobisme, les beaux atours et les délicates manières....