Extrait du journal

Déjà. M. André Citroën avait eu maille à partir avec les assurances sociales qui lui reprochaient d'avoir retenu par devers lui les versements effectues par ses ouvriers et qui eussent du être transmis à leurs caisses. La Cour de cassation déclara que le patron n’était pas le. mandataire de ses ouvriers et M. Citroen se trouva à l'abri des poursuites. Mais il apparut à la faveur dc eet incident que les embarras de la trésorerie étaient plus grands encore qu’on ne le pensait et la dépression en Bourse s’accentua....