Extrait du journal

fl C’est chez elle que je l’ai eue quinze jours après; J’allais Voir Séraphin, il était à Matités triiez un conseiller général ambitieux dont il rédigeait le journal. Il y eut un peu dans la façon dont elle se donna à moi du sentiment qui pousse un enfant quoi bat à se réfugier dans des bras amis. Puis, la faute commise, elle m’aima comme je l’aimais de toute sa tendresse accumulée. J’éprouvais pour elle tout l’amour dont je n’avais donné aux autres femmes que la fausse monnaie. Cela dura un peu plus d’un an. Et voilà des jours et des nuits, des siècles doubles que ses baisers ne m'ont plus grisé de leur joie profonde. Ils sont heureux, les croyants à un monde, ciel ou enfer, où se retrouvent pour l’éternité ceux qui se sont aimés....