Extrait du journal

G ci, a coup sûr n’est pas dans notre intention, une satire. Mais nous voulu s rti induire que le rapport de ces Messieurs m mène do toute dein«ui>tration théorique oui les autorise à repousser les profanes. Ce sont eux au contraire , qui se font profanes, car ils empruntent leurs preuves à in ordre de faits a la portée de tout esprit HNi't-. Tel disent ils, élit it aile à bord du navire venu de Naples et es*: mort du choiera, preuve d’importation ! Tel est allé mourir du choiera dans un village que l'épidemie a ensuite atteint. preuve d importation ! Or son< dire encore ni oui, ni non. au moins pouvonsnous conclure que l’appréciation de la justesse de ces exemples, que même l’appréciation de la justesse des verses parties d un rapport . entre elles , est une affaire de logique ordinaire , non de science; et comme faits et rapport, nous ont passé sous les veux , nous sommes aptes à raisonner. Ce n’est donc pas nous qui lésons invasion d « ns le domaine médical , c est la Société académique de médecine, qui ne pouvant rien trouver d exploiteur se replie sur lus tatous mens et les inductions du vulgaire. C est parce quelle dérogé, que nous devenons comptes....