Extrait du journal

Ils ne voient que leurs amis, ne jugent une situation que par le tapage qui se fait dans l'étroit milieu où leur action peut s'exercer, ce qui fait que les obstacles, si grands qu’ils soient, n’existent pas pour eux. Ecoutez-les. Les obstacles ! ils ne s’opposent qu’aux entreprises des politiques de peu de foi qui cherchent plus souvent à les tourner avec habileté qu'à les renverser de vive force. quant à eux, leur parti est pris. Connue ils ne transigent jamais en fait d'idées, et qu’en fait d’autorité ils veulent tout ou rien, ils n entendent pas faire les choses à demi et, dussent-ils s'y briser, on ne les voit jamais hésiter a attaquer de front les barrières qu’on leur oppose. C’est beau, sans doute ; mais les résultats de cette conduite chevaleresque ou puritaine, quels sont-ils? Hélas ! quant on les cherche, on trouve seulement des déceptions ou dag morts. Pour lo parti de l’antique cho galerie, qui fut celui surtout des longues espérances et qui a çru tant de fois que c’était “arrivé”, il ne reste à cette heure plus rien et plus personne à qui se vouer de coeur et d Ame sur la surface de la terre. Il n’a plus à rattachai ses vœux et ses désirs, pourtant si ardents de tant de fidélité à toute épreuve, aux fins de rasseoir la société française sur ses anciennes haves, qu’aux dépouilles mortelles des princes et des princesses qui reposent eu paix dans le caveau de Caatagna-Vizza. Tout est bien fini de ce cOté-là, puisque les lois de la nature et les décrets de la Providence se sont faits les complices de 89....