Extrait du journal

trous nous sommes laissé dire cependant que co* qui étaient mieux au courant et qui connaissaient plus à fond leur personnel, socialiste ou soi-disant tel, ne riaient que d'un oeil, et trouvaient le succès trop beau. C'est trop, disaient-ils. Et comme on s’étonnait de les voir trouver la Mairie trop belle, et qu’on leur demandait la raison de ce demi-contentement : Kh î oui, répondaient - ils, ils sont trop, ils vont gâter les affaires du parti socialiste. Il eû faudrait seulement un tiers du Conseil, pour faire de l’opposition et nous mettre en vue. Comme ils sont aujourd'hui. ils seront les maîtres, ne feront que des LétlséS et brûleront le parti pour...