Extrait du journal

Personne ne se doute du fit. Eh bien ! le fait est pourtant vrai : ce n’est point Pétât <|in gouverne cuvât l.« reforme ; le pouvoir n'est plus dans Paris, il est partout où la reforme h* trouve. S'il faillit lit dire ce que c’est que cette reforme, la chose serait difficile J car chacun l’entend à sa manière, et l’ad apte a ses besoins, à ses habitudes et à ses m privées ; tint d y a qu'on se garantirait plutôt d'une épidémie que de la reforme qui vous p- esse , vous étreint et vous donne chaque nuit le cauchemar ; si bien que fatigué d'entendre bruire sans-cesse à mon oreille ce mot reforme j’lessivai de remonter à sou origine, et de me fixer, une fois pour toutes, sur la véritable valeur de ce terme ; je m'adressai p tir cela à l’un d- s pervers catéchumènes du j> roi, qui me donna l'explication qui suit :...

À propos

Fondé en 1827 par les imprimeurs Joseph-François Feissat et Pierre Alexandre-Henri Demonchy, Le Sémaphore de Marseille est le plus ancien journal de Marseille et reçut notamment la contribution d’Émile Zola, qui en était le correspondant parisien. À l’origine généraliste, Le Sémaphore de Marseille se spécialise progressivement dans l’actualité maritime. Le quotidien disparait à la Libération.

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Données de classification

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