Extrait du journal

Le mie d’un pilote d’avion, on le sait, est fort différent de celui d'un timonier de navire. L’avion, en gènerad. ne possédé qu’a un faible degré côte précieuse stabilité spontanée qui permet a un navire de se redresser apures le passage d'une vague. A l'aide de son levier de pilotage (manche a balai), organe de commande double, le pilote doit agir continuellement sur les ailerons des ailes pour maint,nir | équilibré latéral et sur le gouvernail de profondeur pour maintenir l’équilibre longitudinal. En ouire le pilote doit, bien entendu, maintenir son cap, autrement dit diriger l'avion vers le but de son voyage....