Extrait du journal

U question extérieure a, dans ce moment, autant de heu que la question électorale, dans les préoccupations du pays. On doit croire même par suite de 1 intérêt suprême que nous avons tous à savoir ou nous en sommes au sujets des éventualités de guerre, que les dernières finiront par aherber 1 attention du public. Le Constitutionnel parait regretter celte disposition des esprits II soutient, d ailleurs, que dans l’intérêt même fend paix, l'opinion ne doit pas la demander ostensiblement. Le journal officieux aurait peut-être re raison s'il s agissait seulement de l’impression à produire au dehors, si telle ou telle puissance ayant l’inter lion d attaquer la France, ce qui est inadmissible ce qui n est pas, il était nécessaire de la tenir en respect, en lui montrant qu’au besoin on lui ferait la guerre avec entrain, même avec enthousiasma M:us nous non sommes pas là, et le Constitutonne sait bleu le contraire L'essentiel, en effet est d éclairer notre gouvernement sur 1 -s disputions du pays, de lui prouver qu'il se tromperait cruellement sur ses désirs, sur ses véritables aspirions, s il sa supposait le moins du monde animé de passions belliqueuses et souhaitant autre chose que la pan Le Constitutionnel combat, de plus “qU 1'*£?el!\lT ”section fige les feuilles étrangères répètent à 1 envie, sur la foi de nos journaux d opposition, et qui consiste à prétendre qu’en F auto h guerre dépend d'un seul homme • Ou entend-on dire par là, s’écrie-t-il ? Que 1 Empereur a le droit de déclarer la guerre et de conbure la paix Eh bleu ! qu’on nous nomme un seul Eut en Europe ou le souverain ne soit pas investi de is même prérogative ? » rl»l,uT'fT “n 1:,,nl de P»re-llecho«,. Le ^ 7 '8°ore donc Su'aujourd hm le droit de prié et de guerre ne dépend plu, uniquement...