Extrait du journal

La Rrvvbliqub vlançaibu déclare quelle elle s abstiendra. Ainsi, il est à présumer qu’on laissera le pays tranquille jusqu’à nouvel ordre, la consigne étant •le garder un silence prudent sur toute la ligne. Les conseils généraux se borneront à réaliser une session d'affaires et les réunions plus ou m ins privées et les banqueta portiques* projetés seront oraleîinimeBt ajournés Le public n’y perdra pas grand (chose. Les beaux discoure qui auraient été prononcés, les excitations de tout genre qu’on nous promettait, ne sauraient valoir, en effet, dans la situation ou nous sommes, ni quelques bons mois de tranquillité et de travail, ni l’exemple du calme profond dont jouit la République français#1, en présence des troubles et (les guerres civiles qui se produisent au sein des monarchies dont elle est entourée. Ceux qui peuvent regretter le contrefortdre des chefs du radicalisme ou du moins le parti qu’ils ont pris de s'abstenir, ne rongent guère au bien nui peut résulter de la réserve qu'ils veulent garder. Les partisans quand même (le la dissolution ne semblent pas non plus ae faire *ne id.-e juste du fâcheux effet des agitations om ils auraient souhaitées, sur la masse •les esprits flottants qui ne sont pas euporc con sertis à la République même conservatrice et qu il serait plus que jamais impolitique d inquiéter. Ce n est uu au profit des adversaires de l'ordre (le choses actuel que cotte agitation pourrait se faire. A vrai dire, eux seuls auraient lieu de s’en applaudir, car on leur fournirait le .<-:ui arguai ut qui ait quelque valeur...