Extrait du journal

sorts que ces m<«3*»i urs ont trouvé une façon selon eux suffisante de représenter les intérêts. 11 suffit i appeler ft prendre part au vote tos plus forts lmp é* Je cro s d atto l qu’il faudrait préalablement s entendre sur ce qu'on happe le les plus fort? imposé*. Ces messieurs, je le crains, atout eu eu vue que les contributions directe? et leur système gérait en somme indéfendable — je n en suis point partisan mais je dois reconnaître qu’il a des côtés spécieux — si les revenus do nos communes dérivaient exclusivement de? taxes directes comme c’est le cas en Angleterre. Mais il u en e-t point ainsi. Chez nous, les taxes indirecte?, l’octal surtout, ferment la bave principale des revenu? communaux surtout dans les grandes villes et re serait commettre une erreur grave que de croire avoir représenté les intérêts eu appelant ft exercer un droit de vote pour le choix des maires ou des adjoints, ou du corps municipal les citoyens taxée directement ft la cote la plus élevée des rôles des contributions directes, l a homme peut avoir de très grands ingénus dans une commune, et y être simple locataire d’un immeuble et patenté d'une classe inférieure. Il peut en même temps justifier de son intérêt par la part contributive de son Industrie aux droits d'octroi et celui-là serait, dans le système préconisé par nos droitiers, écarté comme n étant pas un « plus fort imposé », tandis que tel duc, prince ou baron u habitant jamais la commune dont sanglât, ne s’inquiétant nullement de ses affaires, viendrait ou ne viendrait pas, mais pourrait venir donner son avis et son vote dans une affaire dont i! n’a cure...