Extrait du journal

Il n y a de mot dans aucune langue pour flétrir la conduite des révolutionnaires qui ont mis le feu aux monuments de Paris et qui trouvaient un infernal plaisir à détruire ce qne la France, ce que les nations civilisée* entouraient d une traditionnelle et bien légitime admiration Depuis trois jours, on tremblait 4 chaque instant d’apprendre quelque nouveau forfait et chaque fois qu il arrivait une dépêche on ne l’ouvrait qu'avec terreur, tant on redoutait d'y trouver la constatation des crimes les plus abominables. A cette heure la crise touche 4 son dénouement...