Extrait du journal

« Sans abandon partiel de souveraineté, il ne peut pas y avoir d’Europe un.c. C'est pourquoi, la question se pose de savoir si, voulant l’Europe, le gouvernement britannique n’en veut pas les moyens. Il serait paradoxal qu'au moment où la France répond par une proposition ferme à l'appel que M. Churchiot lui avait adressé de Zurich, ce fût l’Angleterre qui donne à tout le monde libre cette déception. J espère vivement que le gouvernement britannique ne maintiendra pas cette | position. Je l’espère pour l’Angle- j terre amie et pour l’Europe »....