Extrait du journal

Pour fibra entrer dans lus rangs quelbues combattants de plus, on fait volontiers litière des libertés lus plu* précieuses, la liberté individuelle, ia liberté ds la presse, la liberté de réunion ; or accepte, le cuir léger, le despotisme a un être impersonnel, la Commune, dont les délibérations sont secréter, et qui, grâce aux démissions successives de ses membres, ne va plus représenter bientôt que , la minorité de ses électeurs ; on subit sans su plaindre, la loi dictée par un ministre de la guerre, qui ne fait môme pas partie du Conseil élu, et qui choisit un étranger pour chef d’état-major; ; on ne se révolte pas contre cette odieusrinquisition du passeport que les gouvernements précédents avaient abolie , en ne s’étonne pas du rétablissement a 1 intérieur du bureau de la presse, contra lequel tous les partis libéraux s’étaient élevés jadis avec tant de vigueur ; on ne recule pas devant la dénonciation et la loi des suspects. Ou ne pansa qu’à une cliche, a la la lutte aveugle, à la guerre civile à outrance, sans trêve ni merci, et l’on voit des femmes saisir le fusil pour combattre leurs fils ou leurs tores....