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Le Soleil, 27 octobre 1865

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Le Soleil
27 octobre 1865


Extrait du journal

Il s était concilié tant d’amis. il était en relation avec tant de monde, que la foule se pressait à son convoi dont le deuil était conduit pare. alevin et M llaussmann. le préfet de la Seine. Un plus grand nombre encore aurait pu lui rendre un dernier hommage; mais combien sont absents! La villégiature a pris cette année des proportions inusitées que on peut attribuera la crainte de l’épidémie, crainte dont on doit rougir après l’exemple de courage qui vient d être donne par une bienfaisante femme, S. M. l'impératrice, qui visitait hier l’hospice Beaujon — Citons à cette occasion une réponse de l’auguste Souveraine. — Alors quelle elle adressait des paroles d encouragement à une malade, celle-ci, la vue allailie sans doute par la souffrance et croyant parler a la sœur de charité qui veillait à son chevet, rondit à celte voix qui la consolait :...
Le Soleil (1865-1867)

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