Extrait du journal

« J’ignore, a dit quelque part un mien ami et confrère, j’ignore pourquoi les auteurs soi-disant gais passent les trois quarts et demi de leurs nuits à imaginer d’imprévues péripéties, d’anormales ambiances, pour servir de thème ou de cadres aux petites histoires dont ils tentent d’amuser, plus ou moins périodiquement la badauderiez de leurs contemporains : l’abracadabrantce de leurs concepts n atteindra jamais celle de certaines situations de la vie courante, dont le degré d’inouïe varie entre plus et moins l’infini. »...