Extrait du journal

quant à la jeune fille, elle rare beauté, élancée, souple dans ses mouvements comme un félin, elle personnifiait la grâce féminine. Ses yeux étaient grands, limpides, magnifiés par l'arc hardi du deux cils qui estompaient la flamme de ses prunelles ; ses lèvres de cerise mûre qui tranchaient sur le rose tendra des joues semblaient dessinées par quelques artiste au talent surhumain. Le visage au parfe.it contour était une copie du village scalaire des anciennes Grecques qui furent las prototypes de la beauté. Une ondoyante chevelure d’or mettait une auréole fauve sur sa tête morveiHeusemenrt modelée. Son corsage sobrement échancré me laissait apercevoir la naissance d'une gorge marmotrenne au-dessus de laquelle s’étageait un cou laiteux.et flexible où couraient par instante de légers blondoiements... Jamais je n’avais vu beauté plus Lrouoiante, plus captivante ; tant de charme se dégageait de tout son hue et tant de douceur se lisait en æs yeux que j’en fus subjugué. Incontinent amoureux, je n'eus plus qu’une pensée, qu’un désir : faire sa connaissance I...