Extrait du journal

On continue à en parler de différents côtés. Celui de nos confrères qui avait établi le calcul primitif — 201 jours de congé contre 164 de classes — persiste à soutenir que les « petites vacances » enlèvent au travail le mois de juillet. Ainsi présentée, l’observa tion n’est pas très exacte. D’abord, les règlements universitaires non seulement ne reconnaissent pas, mais pourchassent les « petites vacances ». Chaque année, des circulaires conçues sur le ton le plus com minatoire rappellent aux professeurs qu’ils doivent faire classe jusqu’à la veille do la distribution des prix, et, sous aucun prétexte, n’anticiper leurs con gés. En outre, on a soin de placer des compositions dans les dernières classes, de manière à retenir les élèves qui seraient tentés de fuir. En principe donc, le mois de juillet est un mois de travail aussi nor mal et aussi complet que le mois de juin....