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Le Voltaire, 15 février 1911

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Le Voltaire
15 février 1911


Extrait du journal

pays cl le font vivre- Mais combien d'autres ne peuvent sortir de u mue où on les a forcés de se citasillico ? Combien demeurent étrangers la matière même qu'ils sont charges 3 modeler en vue de l’utilisation des ivres qu’elle recèle ? M- Daniel Vincent a dénonce en tores modérés celte contradiction clitoladite II s'est appuyé sur 1 autorité de îles Ferry et sur les programmes des soles étrangères. Le vœu de nos canédignes est avec lui. Déjà, M. Fernand avide l’avait avec force traduit à prêts du budget de l’agriculture. En somme, moiti ce qu'il faut ente* re par le droit à la science : c’est le [-oit qu’ont tous les enfants de connaît la raison scientifique de leur méer. S’ils ta possèdent dès l’origine, ils front le moyen de l'approfondir et, avant leur intelligence, de l’exploiter /ce profit. Ce n’est pas dans ce sens que M- M6n l’entend. 11 veut que l’élite des ennts du peuple puisse accéder aux failles. Il demande que « les primaires lissent venir chercher la science à sa terce ». Je ne peux le contredire sur déc principale de son discours- Les liants du peuple les plus intelligents héritent d’être distingués pour revoir les bienfaits d’un enseignement us élevé. Cette pensée est commune a us les républicains et, à cet égard, intention de notre parti est a 1 abri de ute critique. Mais il convient de faire an de attention aux moyens de sélectif dont use l’Université. Qu’entendle faire de ces enfants supérieurs ? es plus remarquables, elle fera des astres du haut enseignement ; aux ânes, elle distribuera les places du presserai des lycées. Voilà les débouchés l’elle réservé aux plus belles intello onces du peuple- C’est trop et c’est op peu. C’est trop de forces' accumules vers une seule branche de la pense nationale. C'est trop peu de résultas pour l’action et la puissance effectifs du pays.Il n’y a aucune raison pour cuitée l’industrie, le commerce, l’agrilaure hors des états supérieurs de la leur. Un peuple ne peut se contenter...
Le Voltaire (1878-1930)

À propos

Lancé le 5 juillet 1878, Le Voltaire remplace Le Bien public d'Émile Ménier à l’occasion du centenaire de la mort du célèbre philosophe des Lumières. Administré par Charles Marpon, copropriétaire, et dirigé par Aurélien Scholl, il se définit comme le « Figaro des républicains », soutenant d’ailleurs la politique de Gambetta. En juin 1879, Julien Lafitte remplace Scholl à la direction. Au final, Le Voltaire aura su se démarquer par la qualité de ses journalistes et contributeurs tels qu’Émile Zola, les frères Goncourt, Guillaume Livet ou Paul Alexis.

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