Extrait du journal

C’est troc chose fort plaisante, ami Maxime, que, plus les écrivains et les orateurs catholiques se déchaînent en accusations violentes contre l’Etat républicain, moins ils parviennent à émouvoir i’opinion. Ils agitent, un siècle après nous, ces grands problèmes de la liberté de conscience et de l’inviolabilité du domicile. Ils s’arment en guerre pour la défense de nos conquêtes révolutionnaires. lis sont désormais pour les droits do l’homme et du citoyen, ils flétrissant les tyrans, ils se montrent tour à tour véhéments, ironiques, insultants, provocateurs....