Extrait du journal

ou comprendra facilement fuel fut Fionnement général à la nouvelle qu il «^rencontrait des gens assez téméraires S oser demander un peu de liberté. L journaux officieux firent de longs ru; es pour prouver que ces insensés ^méritaient qu’un séjour de quelques ?Les eu Sibérie; apures quoi ils reviendraient à des vues plus justes et plus lieues Le gouvernement goûta cette £ on arrêta une trentaine de jeunes 11S’ trois ou quatre jeunes filles, et tout Coude tut dirigé vers la Russie blanc! un avait espéré intimider les autres fleur ôter toute envie do continuer dans feste bonne voie. L’événement donna Li t aux politiques russes. Loin de péri cuiter, l’association prospéra, elle recruta de nouveaux adeptes et, de jour on jour, devintInon seulement plus forte, mais 8UJusque-1 à!°en effet, il n’y avait que des étudiants parmi les sectaires; maintenant ou y trouve des meneaux, des personnes attachées a la nom, de hauts Actionnaires, des médecins, des professeurs; naguère, a ce qu 011 assoit, deux membres de la famille ^mp^iale étaient au nombre des a-t-il és. L un des deux, du reste, il n’y a pas longtemps, a pave de sa vie son courage, ou plutôt sa témérité C’est du moins le bruit qui a couru dans les hautes sphères russes,et nous avons tout lieu de croire que ce jeune prince 11’est pas mort de sa belle zist un sait qu’on Russie 011 se dosairosse facilement d’un prince ou d un tercer gênant; land I,r fut tulle, t sandre, Nicolas périrent par le pmm Vêtersbourg a conservé les traditions do Byzance, ses pratiques de violence et de ruse, sa politique . espions, d'assassins et d’eunuques. Pendant quelmsmois, ou n’entendit plus parler des intimistes »; - 011 venait de leur donne! ce nom, et le mot est attribue A M. Tarmiew, un Russe à qui 1 ans est pins connu que Pétersbourg ; mais le gouvernement 11e fut pas longtemps tranquille....