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L’Écho d’Alger, 3 février 1944

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L’Écho d’Alger
3 février 1944


Extrait du journal

Mais à Dakar, à Abidjan et à Cotonou, à Fort-Lamy, à Zinder et à Gao, comme dans la capitale de l'A.-E. F., par ses paroles, par sa présence, le représentant du Comité de la libération n'a pas seulement marqué une affection une solidarité « entre les 42 millions d'enfants de la Métropole et les 60 millions d'hommes de l'Empire. » Il a renouvelé les termes par lesquels s'exprime l'idéal français de la condition humaine et qui s'appliquent autant qu'aux fils de la nation, à ses adoptés ou protégés....

À propos

L'Écho d'Alger était le grand quotidien de l'Algérie française. Fondé en 1912 par Étienne Baïlac, journaliste français né en Algérie, il fut le premier journal colonial à utiliser des photographies de presse. Le journal eut pendant longtemps une sensibilité de gauche, et prônait ainsi le dialogue entre patronat et classe ouvrière en plus d’être favorable à une égalité accrue entre arabes et français. Plus tard, pendant la guerre d'Algérie, il devint le farouche défenseur de l’Algérie française.

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