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L’Écho d’Alger, 4 novembre 1925

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L’Écho d’Alger
4 novembre 1925


Extrait du journal

Cependant, après un détour assez imprévu, 1 le citoyen- Compère-Morel déclare qu'il n'est pas dans son intention de proclamer l'exclusive contre M. Painlevé. Mais il ne veut prendre envers lui aucun engagement. Il l'attend aux actes. x —" Le citoyen Jules Ukry se présente comme député socialiste moyen. Il s'écrie : 1 7 - Compère-Morel nous dit : Faisons appel au pays, c'est donc à la dissolution qu'il nous convie. Comment irions-nous à la bataille et y sommes-nous préparés ? Je prétends que non et nous pourrions sortir fort meurtris de la nouvelle consultation populaire. Sachons être patients....

À propos

L'Écho d'Alger était le grand quotidien de l'Algérie française. Fondé en 1912 par Étienne Baïlac, journaliste français né en Algérie, il fut le premier journal colonial à utiliser des photographies de presse. Le journal eut pendant longtemps une sensibilité de gauche, et prônait ainsi le dialogue entre patronat et classe ouvrière en plus d’être favorable à une égalité accrue entre arabes et français. Plus tard, pendant la guerre d'Algérie, il devint le farouche défenseur de l’Algérie française.

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