Extrait du journal

Il ne faut pas s'étonner si les négociations internationales, depuis quelques jours, chôment un peu. C'est à la crise anglaise qu'il faut attribuer ce temps d'arrêt. Aa lendemain de la Conférence de Londres et de l'Assemblée de Genève, on s'attendait à une intense activité, destinée à la mise en œuvre (ou tout au moins à la préparer) des multiples résolutions arrêtées qui touchent aux plus hauts problèmes dont les gouvernements puissent avoir à se préoccuper. Mais là-dessus sont intervenus le vote de la Chambre des Communes, la chute de M. Mac Donald, les nouvelles élections anglaises, et tout s'est trouvé remis en question. Il est vrai que les Asiatiques ne se sont pas arrêtés pour si peu....