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L’Écho d’Alger, 30 juin 1914

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L’Écho d’Alger
30 juin 1914


Extrait du journal

Mon chauffeur et moi tués, le train était à leur discrétion. La région, ne l'oubliez pas, est mal famée, Elle est le repaire des Ouled-Kallous, bandits pillards et voleurs, toujours prêts à quelque mauvais coup. Il est certain que les agresseurs comptaient piller le train -et- assassiner les voyageurs à la faveur de la panique qu'jls espéraient voir se produire.. — — Iiës premières informations prétendaient que le train avait été arrêté après l'attentat. — Je m'en serais bien gardé. J'ai, au contraire, accéléré la marche, convaincu que tout arrêt aurait, livré le convoi aux bandits trop bien armés qui venaient de l'assaillir....

À propos

L'Écho d'Alger était le grand quotidien de l'Algérie française. Fondé en 1912 par Étienne Baïlac, journaliste français né en Algérie, il fut le premier journal colonial à utiliser des photographies de presse. Le journal eut pendant longtemps une sensibilité de gauche, et prônait ainsi le dialogue entre patronat et classe ouvrière en plus d’être favorable à une égalité accrue entre arabes et français. Plus tard, pendant la guerre d'Algérie, il devint le farouche défenseur de l’Algérie française.

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