Extrait du journal

Il tiy avait donc chez nous nulle arrière-pensée de mener insidieusement la France vers l'isolement. Au contraire. Nous avons cru servir l'alliance, en tenant, pour la défense des intérêts français, un langage identique à celui tenu par la presse an glaise, pour la défense des intérêts britanniques. Et en ce moment, où une brise bienfaisante nous apporte les premiers i.~ échos d'un très prochain rapprochement s.- franco-anglais, sur le terrain du litige hautsilésien, nous serons les premiers à ap...