Extrait du journal

À qui revient la faute de cette inexactitude ? Pas aux contrôleurs des contributions directes qui ont fourni depuis quatre années un labeur incessant et une surcharge de travail énorme. La faute en est à la loi qui n'a pas placé à côté des agents de l'Etat des instruments de contrôle et de discussion. Ces instruments on les aurait :rouvés dans des commissions cantonales ou départementales qui auraient représenté le contribuable, donné un écho à ses réclamations, et assuré aux résultats consignés par l'administration la valeur d'un examen et d'un débat contradictoire....