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L’Écho de Paris, 11 février 1885

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L’Écho de Paris
11 février 1885


Extrait du journal

Un mot, surpris à la sortie du bal dè l'Opéra. On appelle 1a. voiture de Mlle B... Arrive un coupé conduit par un jeune cocher. — Ta bourgeoise est rudement jolie, lui crie un de ses collègues. — Ah! fait le cocher en soupirant, si j'avais cent mille livres de rente, Ma dame n'appartiendrait pas à un autre que moi! ' " ' « Une jeune actrice, dont on annonçait dernièrement le mariage, porte le deuil d'un oncle. S... se promenait sur le boulevard avec D... — Tiens, s'écria-t-il, la petite Y...! Pourquoi est-elle en deuil ? — A cause de son mariage, dit S. Elle a entendu dire que, lorsqu'on se marie, il faut perdre quelque chose... alors, elle a fait ce qu'elle a pu, elle a perdu... son oncle !... Casse-Coo....

À propos

Fondé en 1884 par Aurélien Scholl et Valentin Simond, L’Écho de Paris était un grand quotidien catholique et conservateur. Il était sous la coupe financière du célèbre homme d'affaires Edmond Blanc, propriétaire notamment de plusieurs casinos et hôtels de luxe à Monte-Carlo.

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Données de classification
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