Extrait du journal

que prend chaque jour dans un restau-» rant au-dessous de la moyenne le Pari sien moyen 1 Il est tout de même un peu injuste de confondre avec un fêtard le monsieur qui mange une côtelette et un fruit au premier « caboulot » voisin de son bu reau. — Prosi'Er. , TOUTES les maisons de commerce sont heureuses et fières de pou voir faire montre de leur ancienneté. Evidemment c'est une bonne réclame pour une maison que de mettre au fronton de sa porte : « Fondée en 1730 ». Un pâtissier parisien vient de trouver mieux. Il a fait encadrer sur sa devanture le. premier reçu du terme de loyer de sa maison, qui est daté de 1830, ce qui fait sa maison centenaire. Le reçu indique que son loyer à cette époque était de 300 francs par tri mestre, soit 1.200 francs' par an, ce qui, à l'époque, devait être un gros, loyer. Si le pâtissier voulait attirer davan tage la curiosité du passant, il devrait bien afficher le dernier reçu du loyer qu'il paie actuellement. On verrait aVec intérêt la différence. Et puisqu'il y serait, pourquoi n'afficheraifril pas aussi le; prix des aetits...