Extrait du journal

Qui (le nous va porter le coup victorieux ? L’armée oscille ainsi qu’un navire qui sombre, L’ennemi se dépense en assauts furieux, Mais il sera vaincu, car il n’a que le nombre i Notre courage à nous n’est pas sa fureur sombre ; C’est l’alerte bravoure et c’est l’clan joyeux ! Nous ne nous battons pas pour la gloire—cette ombre !— Ni sur l’ordre brutal (l’un maître ambitieux. Mais nous te voulons grande et libre, notre Mère l En chacun de les fils ton âme est tout entière! Aussi vois-les s’enfuir, ceux qu’on crut les plus forts. Si nous luttons encor sur ta terre meurtrie, Qu’importe?.. Non, tant mieux ! puisque c’est, ô Patrie, Dans ton sein maternel que tu reçois tes morts!... Henri Carrùki; (1915). Avez-vous perdu ou cassé voire montre? ou bien celle-ci marche-t-elle (l’une façon défectueuse? Adres sez un mandat de 5 francs, 142, rue Montmartre et vous recevrez chaque jour, pendant trois mois, L’Heure tic />

À propos

Fondé en avril 1915, L’Écho des guitounes est un journal de tranchées du 144e régiment d’infanterie, dirigé et rédigé par Marcel Lermercier de Maisoncelle. Son ton satirique ne dessert pas son fond informatif, à destination des poilus, et la revue présente un contenu varié : des informations politiques ou économiques, mais aussi des poèmes, ou nouvelles.

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