Extrait du journal

E. R. « Dans le dernier numéro du Bulletin, Monseigneur le Recteur opposait le démenti le plus catégorique, en ce qui concerne les Instituts catholiques de France, à une . assertion grave publiée par le correspondant romain de Y Action Française. Mis depuis en demeure une seconde fois de justifier ses dires par des précisions et des preuves, le journaliste qui bigue Aventino s'est encore dérobé. Il ne semble avoir compris ni la portée de ses accusations, ni la responsabilité particulière qui lui incombe du lait de son anonymat. Au lieu de s’expliquer nettement, de citer des noms et de verser au débat les documents prouvant l’existence et l’action d'une Carboneria moiernitle dans les Instituts catholiques de France, Aventint a préféré susciter un o deux et perfide procès de tendance ; il s'est aussi retranché derrière son office de journaliste qui fait de l’information et n’a pas à dresser des listes de proscrit one pour le Saint Office et les recteurs d’instituts catholiques. Ses lettres pré cémentes ne nous avaient point révélé autant de scrupules ni de difficultés à citer des noms et des faits. Nous ne saurions laisser prendre le change et nous jugeons nécessaire, pour l’honneur même des Instituts catholiques et la liberté de leur travail de dire nette meut notre pensée sur cette allaite. D’autres ont estimé préférable le mépris du silence, c'est a notre avis une tactique fâcheuse dans ses replets et nous persistons à penser qu’il ne faut point permettre à des journalistes de plus de bonne volonté que de savoir de tromper sur ce point i’opinion catholique....