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L’Écho rochelais, 4 août 1900

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L’Écho rochelais
4 août 1900


Extrait du journal

Taupin ou Ramollut, les généraux seront de tristes hères tant qu’on les recrutera parmi les colonels. Après la trahison du général André, j’es père qu’on nous laissera tranquilles avec la fumisterie du « général républicain »; j’espère qu’on ne me chicanera plus le droit d’appeler le ministère un ministère de trahison républicaine ; j’espère qu’on ne contestera plus ma proposition : que le métier militaire est l’école de la trahison. J’en ferai d’ailleurs la preuve historique, comme pour l’école du vol, avec autant de documents qu’il faudra. (L'Aurore.) Urbain Gohier. De telles choses sont intolérables ; quelque chose finira bientôt dans une explosion et il est juste que les responsabilités ne puissent point s’égarer alors....

À propos

Lancé en 1828, le Journal commercial, littéraire et d'annonces judiciaires de La Rochelle donnait toutes les semaines des renseignements de première main sur les activités du port de La Rochelle. En 1829, il change de titre pour devenir L'Écho rochelais, mais reste fidèle à sa formule, amalgame de renseignements financiers de proximité et de bruits de couloir mondains. Le journal paraît jusqu'en 1941.

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