Extrait du journal

vante poésie patois intitulée : O Jumilliac-lou-Grand ! et dont la traduction ne trahira pas tout à fait la véritable beauté : Comment ne pns pleurer, quand l’âme blessée Voit co qui est fascinant tomber sous la tourmente. Quand on sait que ces nuis n’entendront plus Volvc voix s’élever dans le rire et l’émoi ? Comment ne i as pleur, r quant ou voit la feuiller Bercer une dernière fois le plus vieux de scs liais '! Comment ne luis pleurer tout un passé glorieux i Comment ne pas pleurer la beauté méprisée '! C’est pour toi, vit*, château, c’est vers tes vieilles...