Extrait du journal

T j’ai r n'est pas par si la route est large, et le clairon qui sonne la marche a peine à rythmer le pas lourd des soldats accablés. Us vont mornes, épuisés, fiévreux, la sueur au front, les pieds endoloris, l’épaule par la charge déchirée, sous un implacable soleil. En leur gosier en feu, une fine poussière torréfiée s’insinue qui les assoiffé, el au premier cours d’eau rencontré, boue ou vase, qu’imposte, malgré la défense très sage des chefs, ils se précipitent à plat ventre, et boivent et lapent. Tant pis si,des miasmes corrupteurs sont en suspension dans la boisson ingérée, ils veulent, avant toutes choses, fùt-ceail prix de la mort, éteindre cet incendie qui les brûle....