Extrait du journal

Nous traversons une bien singulière période. Il défient presque impossible d’exprimer une idée sans Mro pris personnellement à partie de façon ou violente, ou grossière, ou injurieuse. Tels les chiens mordant les jarrets des moutons qui se détachent du troupeau, tels certains publicistes poursuivent les membres du Parlement qui se permettent d’avoir une vue indépendante. Cela est intolérable. J’estime, quant à moi, qu’il faut agir et penser librement. La République a conféré ce droit à tous ceux qui vivent sous ses lois : je le réclame pour les simples députés....