Extrait du journal

C’est que, malgré toutes les effusions humanitaires et toutes les professions de foi philanthropiques, un sentiment est resté vivace dans tous les cœurs et s’est imposé au Parlement comme au pays entier : ce sentiment, le président Roosevelt l’a admirablement exprimé quand il a dit, — et la phrase a clé recueillie par M. Izoulct dans une de scs plus admirables leçons : — « Il y a un mal plus cruel que la guerre pour un peuple : c’est la perte de son indépendance. » Ces simples mots tranchent la question....