Extrait du journal

ARMI k* problèmes qui essai lent le plus fréquemment et avec une virulence partic. arr la p niée d'un révolutionnaire, ceux de l'éducation offrent un maximum de complexité. Il est certain que des hommes dont 1 intention formule e«t d'rnçaçer leur pas s sur de» voies nouvelle» et dont l’esprit est suffisamment éclairé, l’expérience suffisamment riche pour ne pa< entretenir de fâcheuses i fusions sur le degré de malléabilité que présentent les couches avancées de la nation, il est certain’ dis-je, que ces rénovateurs porteront toute leur attention sur la jeunesse, c’est-à-dire sur cette catégorie d ères souple» qui n'a pas encore été profondément contaminé# par ce qui, à leurs yeux, mérite dartre détruit — cette ivraie du passé . On distingue deux raison» à l'importance capitale de la jeunesse : le. seule, dispose d'un avenir, elle seule offre un terrain de germination. On a trouvé un sillon dans lequel seront jetées |e» semences et les semences auront le temps de < donner ». Les pays socchastes, les pays d* révolutions ont continué de tout déposé r entre les mains de leur jeunesse. Par ailleurs, on voit pin la réalité de cet espoir dam le souci immédiat qu’ont les gouvernant» révolutionnaires de renverser la machine éducatrice jusqu’ici en substituer de nouveaux rouages — nouvelles méthodes, nouvel enseignement, foi nouvel’e. (Vejr ta suite en troisième page)...