Extrait du journal

ponts ne sont pas coupés. En ne se prononçant pas sur le détail du règlement de l’affaire des Allemands des Sudètes, Hitler laisse la possibilité d’y aboutir pacifiquement. En indiquant même que c’est affaire entre les représentants qualifiés des Sudètes et le gouvernement tchécoslovaque <1 en trouver la solution, il semble opiner pour un règlement dans le cadre des frontières tchécoslovaques. Si l’on s’en tient à sa réclamation essentielle et d'ailleurs partagée par l’immense majorité des Allemands des Sudètes, il suffirait que le gendarme tchèque ne rossât plus les manifestants allemands pour que la situation fût rétablie....