Extrait du journal

C’est que, Doriot. aux foules d'outre- ! chemins de fer et de routes, donne la mer qui I acclamaient, a su faire passer, vie à cette terre qui fut inerte, il leur comme un souffle émouvant et magnifia- apporte les sources de la prospérité. Nous que, ce sens de la grandeur qui, là-bas,, avons bâti des écoles, des lycées, des est inné en elles. 11 s’est mis tout de suite de plain-pied avec ses auditeurs, cœur à coeur, âme contre âme, force avec force. Plus qu’aucun autre, notre chef a senti l effort surhumain des petits colons des Hauts-Plateaux, de ceux qu’on appelle << les hommes du blé », abandonnés aux routines, à l’incurie de l'administration. Il a été ému par l’immense misère, par la détresse des masses musulmanes et il leur a apporté fraternellement les solutions de notre parti, il a fait toucher du doigt à ceux qui l'écoutaient, le conflit permanent perpétré par Moscou, favorisant dans l’ombre les absurdes menées pan-arabiques. Et ainsi de ville en ville, notre chef a porté la flamme du P.P.F. sur les chemins de l’Empire, semés de gloire, d’embûches, de richesses, de tant de témoignages du rayonnement de notre pays....