Extrait du journal

Toulouse, le 28 mars 1849. Monsieur le préfet, I la conversation que je viens J avoir avec vous me fait un < envoi I de vous annoncer ma retraite de la mairie. Il est fâcheux que nous liions pu nous entendre, mais je ne consentirai jamais a me ai*I ter imposer une administration quelconque. D un autre côte, il ne ■ convient ni a ma dignité , ni aux intérêts bien entendus de notre I cité que je puisse souffrir auprès de moi un commissaire < entrai, I a!ors que je vous ai offert le concours de tous mes commissaires de I police. Selon moi, dans une administration municipale, le maire seul ■ doitavoir la direction de la police. Ses rapports avec vous doivent I être ce qu ils ont toujours été jusqu ici, francs et loyaux....