Extrait du journal

Je veux, sachez le bien, conquérir la capitale avec cette glorieuse armée, sur laquelle, chaquejonr,—an moyen de prières bien senties, — j’appelle les bénédictions du Père Eternel! \oilaun compère complaisant et crédule, que ce Pore Eternel! Entre nous soit dit, je lui promets de sauver la Religion comme je promets à ces idiots de ruraux de sauver la République. Aussi, pour cela, le brave homme m’envoie des rêves pleins de batailles et de victoires, histoire de m'habituer aux émotions de la guerre ! Et comme il n’y a pas de rose sans épine, de victoires sans défaites, mes armées n’ont pas encore vaincu, mais, patience, elles vaincront ! C’est mon dernier mot....