Extrait du journal

Lorsque M. Cecil Rhodes, sans pousser une pointe jusqu'à Berlin, quittait Bruxelles pour se rendre en Egyi>te, on pouvait croire qu’il avait pris des arrangement» définitifs avec le roi des Belges pour son fameux chemin de fer transafricain, que, condamné à le faire passer entre le Zambèze et l'Ouganda, par un territoire étranger, et pouvant choisir toit à gauche de l’Flat libre du Congo, soit à droite l’Etat allemand du sud-ouest,il avait jeté son dévolu sur le premier ; on racontait, en bellot, que Léopold et le Napoléon II du Cap s’étaient également félicités du résultat des entretiens qu’ils avaient eus ; on prêtait au roi des Belges ce propos significatif : « On notait tait jamais de mauvaise politique quand on fait de bonnes affaires » et la Réforme de Bruxelles, racontait que M. Cecil Rhodes avait dit à l’un de scs collaborateurs : « Nous nous sommes bornés à un échange de considérations qui pourraient amener une entente dans l'avenir ». Bief, les deux interlocuteurs avaient posé tout au moins les jalons des négociations définitives....