Extrait du journal

•Conseil fédéral étaient suffisamment délicates four qu’une divulgation de ces pourparlers n’en compromit pas sérieusement l’objet. La proposition française visait, en effet, le domaine de la législation fiscale, réservé aux cantons. Et si le Conseil fédéral ne repoussa pas d’emble les propositions de M. Caillaux, ce lut certes moins parce que la France nous faisait des propositions avantageuses que pour montrer à nos voisins de l’ouest que nous sommes prête a examiner avec bienveillance toutes les propositions qu ils nous feront. Non seulement il n v avait pas d'équivalent, au point de vue matériel, aux sacrifices que noué aurions consentis, niais il tnt été extrêmement difficile, avec la met. meure volonté, d’obtenir, en faveur des propositions de M. Caillaux, l'assentiment des 25 cantons et denu-oantons qui composent notre t-.., fédératif. El il est évident que i’unanimité tisai indispensable, car nous tic nous représentons pas facilement une place de banque comme rendue consentant à des sacrifices que h’et bom faits la place rivale de Bâle. Et cette aunai, nimbé% qui oserait raisonnablement prétendre ^ u un i eut obtenue ? La question se serait encore compliquée, au...