Extrait du journal

M. Charles Laurent s’échappe par la tangente. Il s’embarrasse dans des textes ie lois tronqués. Il critique le mode ciao achats et des ventes de Rentes effectués à la Bourse par la Caisse des Dépôts et consignations. Mais il ne cite ras un seul ordre du ministre des finances opérant pour son compte personnel. Il ne nomme pas un seul ces intermédiaires qu’il aurait employés. Ces vastes opérations, ces gains Illicites, cette fortune scandaleuse, réalisés avec la complicité du Trésor, dont on nous faisait la veille un stupéfiant tableau, à quoi se réduisentils donc? Il paraît que M. Rouvier, aurait, « par agents, par banquiers, à petits coups souvent répétés, en spéculé> plant sur des primes, prudemment, en » se liquidant tous les quinze jours, recueilli des bénéfices. » Et c’est tout !...