Extrait du journal

Pour opérer cette torsion du cou (guilam ou ooltum, toquerez ou obtoquere). 011 saisissait à doux mains la tête et on la faisait pivoter brusquement autour de son axe ; Tune dos mains, appliquée sur Le visage, profitait des saillies afin d’assurer le mouvement rotatoire. Ainsi s'explique que Philippe, à qui, dit Aurelius Victor, on venait de tordre le cou, perdait abondamment du sang par les narines ; c’est que pour faire tourner La tête, l'orateur avait dû appuyer fortement sur le nez au point de le faire saigner...