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L’Événement, 25 décembre 1848

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L’Événement
25 décembre 1848


Extrait du journal

Une division de militaires invalides portaient des lances qui ne servent que dans les grandes cérémonies ; ils avaient à leur tète le général Petit, le colonel-major Simon et le capitaine adjudant - major Henry ; puis un bataillon de garde républicaine a pied, un bataillon de gendarmerie mobile, qui se faisait remarquer par sa tenue et son uniforme pittoresque ; ce corps a été formé récemment d’anciens gardes municipaux. Puis venaient une division de sous-officiers vétérans, deux bataillons du 18" léger, un du 62* de ligne, deux du 5* léger, deux du 4e de ligne, deux du 59e, deux du 11e léger, deux du 15e de ligne, deux du 21e, deux du 73e, deux du 18", deux du 29e, deux du 45e, deux du 1er léger, deux du 23e léger, deux du 24e id., deux du 39° de ligne, deux du 57e, deux du 01", deux du 74e, deux du 23e, deux du 55e, un bataillon du 10" chasseurs à pied, deux du 14" léger, un du 34e de ligne, deux du 52", deux du 9e léger, deux du 26e de ligne et deux du 48"....
L’Événement (1848-1851)

À propos

Fondé à Paris le 30 juillet 1848 par Victor Hugo, L’Événement est un quotidien français. Son but initial était, entre autres, de soutenir la candidature de Louis-Napoléon Bonaparte à la présidence de la République. Aussi bien littéraire que politique, il communique à ses lecteurs un compte-rendu immédiat et complet des séances parlementaires. Mais après les élections de 1849, le journal se radicalise et se lance dans de violentes campagnes, notamment contre la peine de mort et la loi sur la presse de juillet 1850.

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