Extrait du journal

De l’arrière du navire, l’avant est invisible. Tout autour, c’est le calme absolu. Pas un î la l’air. La brume s’étend comme un nuage pesant et l’on s’étonne que la marche d’un navire n’e.n soit point arrêtée. Le jour une sorte de lueur rougeâtre éclaire .toute chose d’un refit ! fantastique. La nuit, tout est noir, les lueurs du navire bi illen-l sans é< lat :-( m e un 3 phosphore pense vague. Puis c’est l’appel strident des sirènes, la plainte grave d'*s sifflets, les sons argentins des cloches des voiliers, le cri rauque des cornets le brume des j iris. L’oreille tendue, le capitaine sur la passerelle écoule, v droite, ù gauche, devant, derrire, les appels se multiplient. Toute la vie de la mer se révèle en une sorte de mélopée sauvage....